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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 12:43

Constance

Répondeur du jour bonjour. Dimanche 11 septembre sous nuages gris.

Le bégonia s'illumine d'un trait de Râ. Soudain Râ se retire.  

Merci pour votre message. Belle journée à bientôtù ? Dans une ville de plus en plus

 

Chose promise due

Légende de la frite. Peut-être ou peut-être pas (texte protégé)

 

Il y avait il n'y avait pas,

Tout s'est passé le dimanche 11 septembre. Il y a longtemps.  Exactement le 11 septembre 1853.

Il était une fois, il n'était pas.

 

C'était il y a longtemps, très exctement le mercredi 14 septembre 1853, dans une ville connue de tous en cet été 2O11, la ville de New York.

Dans le plus haut édifice de l'époque

Dans le plus raffiné des hôtels, l'hôtel Sssssssssss Saratoga Spring, merveilleux hôtel à la réputation sans égal.

 

Dans la matinée du mercredi 14 septembre 1853, le directeur de l'établissement a réuni ses troupes pour une inspection quasi militaire. Tout le monde est sur les dents.

De la dernière recrue, -une jeune femme de ménage- jusqu'au maître d'hôtel, employé depuis plus d'une quinzaine d'année, rien sur eux  n'échappe à l'oeil aiguisé du directeur : coiffe à redresser, mèche de cheveu à discipliner, ongles à manucurer, soulier vernis à reluire, boutonnière de travers car choisie dans la précipitation du geste.

Rien vraiment n'échappe au Directeur, sauf, soudain, sur un geste de sa main, chacun et chacune, à disparaître. Qui dans les cuisines, qui dans les célèbres suites, qui dans l'office, qui à descendre le fameux perron de l'hôtel Sssssssssss Saratoga Spring. Ce dernier, jeune groom dans sa livrée rouge et or. Parce qu'il a reconnu le bruit reconnaissable entre tous, du moteur  de la belle et rutilante cylindrée noire et grise, propriété du plus célèbre convive de l'hôtel : Monsieur Cornélius Van Der Bilt.

 

Devant Monsieur Cornélius Van Der Bilt le directeur s'incline, se redresse, tend la main, met les formes, bref accueille. Il faut dire que Monsieur Cornelius Van Der Bilt n'est autre que le plus célèbre magnat des chemins de fer. Autant dire l'hôte le plus richissime de l'Etablissement. Et certainement le plus généreux. Gants beurre frais, chapeau haut de forme, canne à pommeau d'or, manteau d'alpaga ôtés, Monsieur le directeur confie Monsieur Cornélius Van Der Bilt au maître d'hôtel. James, pour les intimes.

 

James adore Monsieur Cornélius Van Der Bilt. Surtout depuis qu'il sait, surtout depuis qu'il a appris, ce qu'il faut faire pour devenir richissime magnat des chemin de fer. Il faut être d'origine hollandaise ; avoir dix-sept ans ; observer les péripéties des entrepreneurs, en l'absence du pont de Brooklyn, pour transporter matériaux et ouvriers sur les chantiers de l'île de Manhattan en pleine construction ; demander et obtenir de sa mère quelques billets verts ; acquérir une gabarre à fins locatives. Et de gabarre en gabarre, après avoir su observer, avoir imaginé un réseau  ferré d'est en ouest aux USA et s'y mettre. Sim pli ssime ! Pour lors..... (affaire à suivre, si vous le voulez bien) et oui, frite alors !

 

A bientôt

 

 

 

 

 

 

 

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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 09:46

Ce billet, Linstant le dédie à son père Paul qui se préfère Henri.

Ce billet aura l 'accent, l'accent mêlé, des galets de Garonne, l'accent de son prof de français 5ème, 4ème, 3ème du collège Michelet place St Aubin à Toulouse, l'accent de Madame Castelnau, l'accent du rrrrrrrugby boudu con tiens !

Ce billet aura l'accent, l'accent mêlé des rochers de Pyrénée, l'accent de Perpignan de Madame Baïlsqui venait partager les matchs auprès de ce père, fou de rrrrrrrrrugby, comme il disait, l'accent de samedi après midi à ne pas dire un mot, sauf de la liste qui suit

 

Action, avancée, avantage, axe, ballon, bisou, but, charger, combat, coup d'envoi, décision, défi, défense, défenseur, défensif, défensive, enchaînement, équipe, faute, feu, incursion, joueur, ligne, mêlée, mi-temps, offensive, ouverture, pénalité, pilier, placage, poule, ralenti, réception, relance, rideau défensif, sol, solidarité, talonneur, fourchette, touche

C'est saignant spectaculaire solidaire tactique.

Passionnant jusqu'à naturalisation.

C'est japon contre France, Argentine contre Angleterre today.

Bleu blanc rayé tout noir sur pré.

Ah ils sont forts ils sont forts les Argentins... même s'ils commettent une faute ici

Bien vu

Vous l'avez compris Linstant glâne les mots : seule sur son canapé, elle se souvient des folies sportives qui prenaient son père et cette fameuse voisine alors qu'elle-même ne voyait sur l'unique écran TV de la rue des fourmis s'abattant dans un pré. C'est à peine plus aujourd'hui. Mille excuse, pense-t-elle, en direction des amateurs éclairés (comme amatrices de même)

Linstant se remémore l'argument conté les deux année précédentes, argument souligné par le chant du Haka qu'elle transmettait aux enfants et parents enchantés de participer, en 3D au conte intitulé "La guerre des Poissons" : hilarant et intitulé "Contes d'îles en Pacifique, cochons, poissons et requins pour le moins"

Linstant a un désir, déposer ici à  l'adaptation du conte "la guerre des Poissons". Mais pour le moment, elle vous tiendra en haleine. Samedi matin oblige ultimes courses.

A bientôt

 

Et souvenez-vous "Ne pas vous débarrasser quand on approche des 22 mètres adverses" 

 

Constante

 

9 septembre Répondeur du jour bonjour

Actualité du week-end

Soleil, chant du Haka et Nouvelle Zélande

Actualité du jour. Belle journée à bientôt

 

Pour lors, chant de Samoa que Linstant découvre tout comme vous. 
 
Ka Maté Ka Maté Ka Hora Ka Hora.....  Bon anniversaire Andrée.
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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 08:37

Répondeur du jour bonjour

Sur le ciel et les murs gris les hirondelles graphent

Merci pour votre message. Belle journée à bientôt.

 

Proverbe étrange qui vient du Yémen

"Celui qui n'a pas de racine peut mourir au bord de la mer de surprise"

 

Actualité du jour : Aznavour 2 h de spectacle sans faille à 87 ans

"ça donne envie de vieillir, ça donne envie d'avoir 87 ans"

Plus que 26 ans !

Espoir, sourire et rire aux TousToutes qui lisent Linstant.

 

Linstant travaillait dans un organisme de formation. Un animateur dirigerait un atelier. Elle l'accueille.

"Votre accent me rappelle celui de ma grand-mère.

Un jour nous nous promenions dans les Pyrénées. J'étais en vacances. Je ne me rendais pas compte. Je marchais plus vite qu'elle. Alors elle me disait

"Espère petit, espère".

Elle voulait dire "attends-moi pitchou attends-moi"

Attendre, espérer, attendre, espérer, attendre, espérer... ça fait rêver Linstant aujourd'hui

 

 

 

LA Voile

Une voile blanche et solitaire apparaît
Dans le brouillard bleu des mers. ―
Que cherche-t-elle en terre lointaine ?
Qu'a-t-elle quitté dans son pays ?

Les vagues jouent, le vent siffle,
Le mât ploie et s'écrie ;
Hélas ! ― ce n'est pas le bonheur qu'elle cherche
Et ce n'est pas le bonheur qu'elle fuit ! ―

Au dessous d'elle, un courant plus clair que l'azur
Au dessus d'elle, un rayon doré de soleil : ―
Mais elle, rebelle, réclame la tempête,
Comme si dans les tempêtes se trouve la paix !

 

Lermontov

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 13:58

L'un d'eux remarche : pas si mal.

Constance

Répondeur du jour bonjour. La tondeuse agace le gazon qui voulait avoir les cheveux longs.

Merci pour votre message. Belle journée à bientôt.

 

Et pour ce jour, ce sera tout, sinon ce petit air de musique en raison de la rentrée scolaire..

A bientôt

Merci d'avoir la sympathie de passer.

Linstant

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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 13:50

Constante

Répondeur du jour Bonjour. Dimanche 4 septembre. Pluie.

Les plantes du balconnier exhibent une à une leurs parures diamantées.

Merci pour votre message. Belle journée à bientôt.

 

Petit proverbe français :  (Le Roux 1732) et Linstant ne pouvait pas mieux lire : Le lit est l'écharpe de la jambe. Ce qui veut dire : "Quand on a mal à la jambe il faut garder le lit"

 

Du côté du 2O août, le p'tit déj se prend dès 10 h dans la véranda déjà surchauffée, mais oui mais oui, et grand ouverte sur l'océan vert du jardin. Linstant félicite St Bernard : il n'a pas éteint Sainte Claire la Nonne. C'est une bonne idée.

 

 

La question reste toujours d'actualité. Que manger ? Dans la série "et si je faisais... une carne mechada ? " C'est un plat vénézuélien aussi appelé pabellon !

"Faites, faites"  lui dit-elle, j'aime bien quand vous faites !"" "Après tout, il n'y a rien de si éloquent que la queue d'un serpent à sonnettes" comme disent les indiens d'Amérique du Sud

 

Va donc Linstant pour un pabellon peut-être même un ersatz de pabellon, à ta façon. Elle y va.

 

Cuisson de la viande

4OO g de hampe (de préférence) plongée dans de l'eau froide + ail + sel + poivre et hop on lance l'ébullition. On retire à la louche toute mousse, et on fait cuire au moins 4 heure (au moins)

 

Quand la viande est si cuite qu'elle se détache toute seule en fil, procéder à l'effilochage -et oui, ça se fait viande chaude- (carne = viande ; mechada = travaillée en mèches)

 

On peut prévoir de cuire du riz, dans le bouillon de cuisson de la viande, qu'on aura pris soin de rallonger au fur et à mesure de la cuisson

 

Cuisson des légumes chacun à part

- 2 oignons émincés et hop p'tit peu d'd'huile, p'tit peu beurre et qu'ça fonde

- 2 poivrons émin cés et hop p'tit peu d'huile p'tit d'beurre et qu'ça fonde

- 4 tomates épépinées tranchées et hop p'"tit peu d'huile, p'tit peu d'beurre et hop qu'ça fonde

- 1 chorizo fort coupé en lamelles et hop après les oignons, après les poivrons, après les tomates et qu'ça fonde

 

La viande est bien tout en mèches, les légumes sont tous bien fondus, prendre une grande poêle

Placer les légûmes côte à côte

mettre la viande au milieu et poursuivre la cuisson en mouillant du bouillon, dès que la viande montre des signes de raccournissement

On peut

ajouter une persillade

prévoir le riz cuit

préparer des cachapas -hum trop bonnes les galettes de maïs, vive Caracas-

faire cuire un igname et/ou une patate douce

et cerise, sur le gâteau vénézuélien, couper de grosses bananes en rondelles biaisées et les faire revenir à la poêle

Les ajouter à la présentation finale -grand plat ovale- et hop là, vous dégusterez le plat national du vénézuéla à s'en lécher les doigts.

Il n'y a jamais eu de reste, dit Linstant, quel que fut le nombre de convives. Et quand cela est arrivé, Lefils Delinstant le souhaitait car un sandwiche à la carne mechada, c'était pour lui le bonheur.

La Mamie Delafille Delinstant se régale, Lafille Delinstant se régale. Linstant se régale et se demande si une petite musique du cru ne serait pas bienvenue ?

 

 

 Harpe et cuatro, chévélé, ça va à Linstant. Linstant espère que vous vous trouvez un brin dépaysé(e)s

 

Et comme dessert, une glace mangue/fruits de la passion. Hummmm. Excellent.

Et comme il fait beau, unepromenade direction Plage Dévallée, pour bronzage et natation.

Le pied, le pied, le pied. Trois fois le pied gros bonheur.

Retour : et si le grand monsieur de belle allure intéresse était dans le petit jardin ? On y va. Désillusion. Pas le temps d'attendre. Lafille Delinstant quitte Landréval Destination : les bords des Monts d'Arrée. Les fées, les korrigans, les sources, les rochers, la forêt. La Bretagne d'intérieur avec les copains et les copines.

Comme dirait Francis Poulenc dans Le Roi Babar "Elles sont parties !"

 

Reste à rêver. Rêver. Rêver. Justement

"J'aime rester assis et rêver. Pour attraper les idées il faut être dans un état de rêve éveillé. Les idées viennent par vague. Trouver des idées, c'est comme aller à la pêche. "Vous pouvez rester des jours sans rien prendre, mais l'hameçon est toujours prêt et un jour,... ça mord" David Lynch -grand pêcheur- Paris-Match du 16 mai 2002

 

Linstant espère que vous avez bien dégusté. Y compris le petit vin du Chili. Comment il n'y était pas ? Mais pas du tout. Dans la carafe,  à votre droite... Alors ? A bientôt.

 

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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 09:32

Mais d'abord, constante

Répondeur du jour Bonjour

Noire, blanche, ronde, pie jacasse et me fait face.

Dans le bouleau voisin le soleil plonge.

Merci pour le message. Belle journée à bientôt.

 

Ensuite proverbe du jour

"Ce n'est pas la loi qu'il faut craindre mais le juge. (Proverbe russe) Mon avocat avait raison, qui me l'avait dit.

Et enfin retour au mois d'août.

 

Ce jour-là ce fut fous riresA se rappeler un été à Blida, et l'enfant qui voulait que le paresseux devienne son maître.  "Papa, je veux devenir paresseux !" Le père ne voulait pas. Il obligea l'enfant à venir apprendre son propre métier dans le souk. Le père était vendeur de tissus. Il emmena son fils. Mais quoi qu'il lui proposait, l'enfant disparaissait et le père finissait par le découvrir caché entre deux pièces de tissu derrière lesquelles il siestait. Devant l'insistance de son comportement le père a cédé. Il l'a mené auprès du Paresseux.

"Comment ça des leçons de paresse ? Je n'ai jamais donné de leçons de paresse ! Saurais-je seulement ?"

"Paresseux, je te le demande, tu vas le faire ! Mon fils veut devenir paresseux, montre-lui que c'est un métier qui demande de la patience.

Devant les propos du père le paresseux cède. "Entre" dit-il à l'enfant "et étends-toi sous le figuier" L'enfant obéit. Derrière un muret de pierre, le père observe. Une figue tombe du côté du paresseux. Il étend le bras au-dessus de l'herbe, il tâtonne et enfin rencontre sous ses doigts le fruit espéré, gonflé, si gonflé que déjà fendu. Pas même besoin de l'ouvrir. Les dents s'enfoncent dans la chair rouge et rose et le sourire envahit le visage du paresseux. C'est clair il se délecte. "Tu vois" dit-il, c'est simple, voilà comment il faut faire ! Il suffit seulement d'attendre"

Le temps passe.

Une figue tombe. 

L'enfant ne bouge pas. 

Ploc. Une autre figue tombe. L'enfant ne bouge pas, il attend. 

Ploc et ploc et ploc. Des figues tombent autour de l'enfant mais il ne fait aucun mouvement ! Le père s'inquiète, le paresseux s'interroge. L'enfant ne bouge pas. Soudain plosch une figue tombe. Mais au lieu de tomber dans l'herbe, la figue s'écrase sur la joue de l'enfant. Il ne bouge toujours pas. Mais il appelle son père. Il dit  "Papa, Mets-la moi dans la bouche"

Le paresseux est stupéfait. Il interpelle le père "Qu'est-ce que tu me racontes, tu veux que j'enseigne la paresse à ton fils mais comment puis-je enseigner à ton fils quand il est encore plus paresseux que moi. Crois-moi ton fils n'a nul besoin d'enseignement. Quant à moi, enfin j'ai trouvé mon maître ! Je veux que ton fils m'enseigne"

Le père n'en revient toujours pas.

 

http://www.lcomlania.com/2007/04/la-figue-et-le-paresseux-1re-partie.html pour découvrir le texte original en 4 parties, photos comprises

 

Du côté du Landréval, Linstant et Lafille Delinstant ont aperçu le figuier immédiatement après avoir quitté la maison. Le figuier est monstrueux, ses feuilles sont énormes et les figues à la hauteur du gigantisme font penser à des besaces des mille et une nuits  ! D'un regard souriant, elles savent qu'elles mangeront des figues et Mamie aussi, dès leur retour. Pour l'instant, plage. La sauvage, celle qui s'étale à perte de vue, au pied d'une immense falaise.

Nattes et serviettes allongées, faut pas attendre, ce n'est pas "si on se baignait" c'est " ciel bleu, mer calme, fanion vert, tout y est on y court et on y plonge" ! sur l'air d'une célèbre java marseillaise "on la tire et on la manque, ça fait plaisir".

 

Plaisir plaisir, tu vas y aller ? J'y suis. Elle, serre les dents quand l'eau lui chatouille les orteils. Elle est fraîche. Elle se décide pour une marche dans l'eau jusqu'aux hanches. Après tout il y en a qui paient pour participer à ce type d'excercice. Et qui plus est, ce n'est pas désagréable. Et qui plus est une vague inattendue fait pour elle ce qu'elle 'osait pas faire. La voilà immergée à plonger. Agréable. L'eau est bonne. C'est le bonheur. La bronzette à la loupe en planche.  Un exploit : une heure durant. 

DSCF9125.JPG

Bronzette corps huilé sur le sable. Bonheur. Bronzette sportive à dessiner  des images éphémères sur la plage. Ton animal préféré ? Et voilà un cygne pour l'une qui adore la danse. Une girafe, grandeur nature, pour l'autre dont c'était le surnom quand elle était jeune.  L'animal amical devenu parfait pour une conteuse rose : muet et à langue bleue. Mais le vent se lève. Le sable se déplace et frappe sec les mollets encore humides.

Et si elles s'offraient une glace italienne ?  La première des vacances.

Bonjour le sympathique glacier Italien. Bonjour la première glace parfums mangue caramel beurre salé hummmmmmmmm.

Et si on s'arrêtait dans le petit jardin ? Tu y verrais peut-être le grand homme séduisant et discret de la veille qui a cherché ton regard ? Cherché mon regard ? Mais oui je t'assure.

Les voilà allongées dans le petit jardin. Mais le bel inconnu n'est pas là. Et le vent devient de plus en plus frais. A froid. A elles la côte des pêcheurs. Hou la la quelle côte, mais quelle côte. A couper le souffle, à faire tirer leur vélo par les cyclistes qui les doublent à pied. Mais elles sont récompensées : les roses trémières sont délicieusement belles.   

Et, elles ont osé : l'une des figues est par terre.

 

Alors, c'est toi ou moi qui s'y colle ? Linstant est courageuse. "Vas-y toi !" Lafille Delinstant s'y lance. Armé d'une natte tel François Ier lors de son ultime joute. Mais rien n'y fait les figues sont encore bien accrochées. Linstant s'y met. A son avantage, quelques centimètres supplémentaires. Mais rien n'y fait au premier coup porté. Et au second, voilà que quelqu'un apparaît dans la rue.  "Attention vlà quelqu'un !" dit Lafille Delinstant. Geste suspendu dans le mouvement, fou rire qui monte, Surprises en flagrant délit de vol ! Comme des gamines de 10 ans.Trop drôle. Fendart. La "témoin" est une petite dame à la tête argentée et au regard souriant

"Qu'est-ce que vous faites ?" Visiblement plus par curiosité que pour les réprimander. Explications. Eclats de rire des trois côtés. Etonnements. Elle n'avait jamais remarqué le figuier. Pourtant balèze. Conclusion "Vous me rappelez quand j'étais petite. Mon père avait des pommiers mais je préférais les pommes de la voisine qui elle, ne le préférait pas !" Clin d'oeil "je ne dirai rien, allez-y !" elle nous quitte.

Linstant y est allée. Quelle figue, mais quelle figue, unique en son genre. A trois elles ont manqué  en faire une over dose. C'est vous rire, pardon vous dire !

 

Belle journée à bientôt

 

 Et pour en savoir plus sur la partie de pétanque suggérée http://www.web-provence.com/petanque.htm

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 10:18

Heureusement que tu es là, lectrice attentive chère Evelyne.

C'est vrai, mea culpa j'ai oublié les carottes.

 

Rectification Et on en fait quoi des carottes, et on les met où ? Et quand ? Voilà voilà ya voy... Comme disait mon amie argentine du Vénézuéla en se précipitant pour donner à boire à ses deux charmants teckels. Qui se shootaient au Caco Laco pour ne pas citer la marque. 

Râper 250 g de carottes et les mélanger à 200 g de poudre d'amandes et ajouter aux ingrédients du premier saladier (jaunes, zeste, jus, maïzena, levure chimique, cannelle en poudre)

Maintenant tout est prêt pour finir sa préparation

 

Constante

Répondeur du jour bonjour : 2 septembre

la T° grimpe Le ciel est si bleu qu'il est blanc comme le soleil

Merci pour votre message. Belle journée à bientôt

 

Revenons au Landréval. 16 août. Plus de doute l'été est là. Sainte Claire s'y est mise.

Derrière le rideau de velours. Les rayons joyeux réveillent Linstant.

9h 30, déjà quelques rayons gaspillés.

Matinée d'attaque

P'tit déj à la crème de caramel à la framboise, spécialité du cru hummmmm délectable ;

Et pourquoi pas nettoyer les vitres ? Magnifique clarté sur les lauriers roses.

Repas : et pourquoi pas fondue d'oignons aux champignons de Paris pour accompagner la grillade d'agneau en terminant sur des abricots Bergeron.

Bonne idée. Plaisir.

Tondeuse ? Mon dieu, seigneur, inch allah, my god but pourquoi pas ? Illustrations

 

 

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Et après tout ça, le bon repas fondue d'oignons (pointé d'une lichette de sucre et de vinaigre framboise, aux champignons de Paris pour accompagner la grillade d'agneau et terminer sur des abricots Bergeron.

Hummmmmm c'est bon. Plaisirs.

On savoure dans la véranda, après le repas. Qui sa boisson : café, tisane, jus de fruits, on bavarde.

Simplissime le bonheur. Et pourquoi pas en Breton ?

"Je ne suis pas forte" dit-elle ! en souriant "Je sais dire, mais pas écrire "Tomé" soit, Il fait beau

et encore "oraglo" soit, il pleut

et puis aussi "bisquoitiemdel" soit "j'ai jamais vu ça" elle se penche sur la note que Linstant vient d'écrire

"Ah c'est comme ça que vous l'écrivez ?" Linstant ne peut même pas l'assurer de ses compétences en phonétiques ! comme vous pouvez le constater.

 

Dans la lancée linguistique, la petite Mamie délicate et discrète de Lafille Delinstant se laisse aller à évoquer quelques instants de son enfance, durant la seconde guerre.

De la séquence de vaccination à la mairie. Trouille la trouille les enfants ont la trouille. Mais un petit chien les distrait. C'est celui du secrétaire de Mairie. Il lui mange les pantouffles. Les enfants retiennent leur souffle et finissent par éclater de rire.

De l'étonnement de la lavandière qui travaille dans la maison de ses parents. On lui a donné un chaton. Elle le nourrit dans le minuscule biberon de plastique normalement gonflé aux bonbons. La lavandière n'a jamais vu tant de sollicitation.

De la réquisition de leur maison par les allemands. Très intéressés par la présence d'un piano. Ils en jouent. Et organisent des fêtes. Petit à petit ils se rendent compte que leur joie peut peiner leurs "hôtes" : ils déménagent le piano dans le bar du coin. A son grand regret. Elle aimait bien pianoter dessus.

Des chaussures en papier ou en carton. Mises à mal lors des pluies et orages, à se retrouver pieds-nus. Situation quelque peu honteuse que personne ne commentait. 

Lafille Delinstant n'a jamais entendu parler sa grand mère ainsi. Elle est attentive. Elle commence à comprendre l'anxiété, la nervosité dont fait toujours preuve la mère de son père.

Tout comme la vision des épisodes de Apocalypse rappelle à Linstant l'amnésie dont sa propre mère faisait preuve à propos de la Russie, "quittée" sans famille, sans valise, sauf quatre photos en 1942  (à 20 ans). Pourquoi sa cousine a-t-elle pu fuir aux USA ? Pourquoi  a-t-elle été obligée de "fuir" en Allemagne ? Pourquoi personne ne l'a-t-elle aidée ? Pourquoi aucun médecin rencontré ne l'a-t-il invitée à "se soigner" ?

 

C'est une autre histoire. Terminée. Sans réponse aujourd'hui.

Mais le ciel est bleu, la mer le sera aussi. Linstant et Lafille Delinstant prépare nattes et serviettes et s'en vont vers LandréVal. A tout à l'heure.

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 09:31

pour Véronique

Jeune femme menue, légère, rieuse et  joyeuse, active et pétillante. Comme une goutte de champagne.

Bel anniversaire à toi Véro

Un Black and Blue façon Amstrong.

Une belle fleur bleue du sud

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 De beaux ongles

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Une chanson d'antan

Son voile qui volait qui volait à écouter sur You Tube par Marie Dubas

Mille bisous et

A bientôt

Signé Linstant

 

 

 

Répondeur du jour Bonjour

1er septembre

Et toutes les beautés du Premier.

Merci pour votre message. A bientôt Belle Journée

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 12:38

Mais oui c'est bien vrai, Linstant a omis les carottes dans le Gâteau aux carottes de Raymond Oliver. Où a-t-elle la tête Linstant. La voilà prise sur le vif de son étourderie légendaire.

Qu'elle vous raconte.

Ce matin Linstant a une course à faire. Elle fait sa belle. Elle enfile des talons. Elle prend le bus. Puis le Métro. Enfin. Elle essaie. Mais en arrivant à l'entrée principale du Métro rennais, elle remarque un bruit de chantier. Illico elle se demande si le Métro n'est pas fermé. Elle lève l'oeil. Repère un chantier extérieur, dans le mouvement se trouve soudain déstabilisée et heurte la première marche. Telle une championne olympique elle réalise -cependant malgré elle- une spectaculaire surfade-glissade  sur son tibia droit, le long de quatre ou cinq marches. La voilà tête courbéde et dos de même, à quatre pattes et dans l'impossibilité de se redresser. Bref. Linstant secouée.

Deux jeunes gens, garçon et fille s'inquiètent. L'un l'accompagne direction une infirmerie. Attentif. 

Les pharmaciennes aussi. Délicieuses. "Asseyez-vous Madame vous êtes en état de choc !" Linstant pensait que c'était vrai. Tant elle s'était soudain vue dégringolant les marches sur son tibia comme s'il avait été une planche. Et pénétrant droit direct  dans le hall du Métro. Grande crainte !

Et dans tout ça, le meilleur ? La course que Linstant devait faire ne pouvait pas se faire le mercredi !!

Et dans tout ça une gentillesse ? Celle de Madeleine 85 ans, inconnue à Linstant jusqu'à présent  et attentive aux pansements de la pharmacienne. Papoti papota sur le trottoir, elle s'inquiète, empathise Linstant. A ne pas se plaindre. A rire. Quand elles se quittent, Linstant assure la charmante petite Madeleine qu'elle pensera à elle le 14 septembre (on l'opère du coeur pour lui poser une valve). "Faites comme moi" dit-elle "regardez vos pieds. Je ne les quitte pas des yeux !" .

Du coup elle rappelle à Linstant que sera difficile. Comment l'appelait-on déjà dans son enfance ? Ah oui, on l'appelait "Tête en l'air !" Y a plus qu'à devenir "Tête en pieds".

Merci Madeleine. Non je n'oublierai pas votre adresse. le N° X, la maison avec le balcon ! Un balcon. Point commun. Fleurs, roses trémières, tournesols, volubilis et p'tite mamie... Quel tutti cuanti.

A bien y réfléchir, heureusement que Linstant est honnête. Madeleine identifie son adresse.

Linstant lui enverra une carte postale.

Et pourquoi pas la vôtre ? Linstant imagine la tête étonnée de surprise de la petite dame.

En attendant ce matin-là, pour celui-ci, ce billet là est fini.

Illustration musicale de Eric Satie : la Chute -ou the water-proff- in Divertissement, je crois

 

Répondeur du jour Bonjour

Ciel gris, fraîcheur à se dépasser.

Merci pour votre message. Belle journée à bientôt.

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 14:00

Constance

Répondeur du jour Bonjour

Devinette : Enchanteur il met de bonne humeur ?

Le soleil, l'oiseau de feu inondant les lieux.

Merci pour votre message,

Belle journée ensoleillée, à bientôt.

 

C'est le 15 août, vive les Marie, Bon anniversaire à toi Nathalie, Tirer le rideau. Choc. Le soleil. Il est là ! Chouette ! Des fourmis dans les gambettes Linstant court prendre sa douche. Douche terminée. Parfum Ylang Ylang. Il ne manque plus que cocotiers et bananiers. Elle aimerait bien suivre quelques pardons tout au moins un, et pourquoi pas, celui de Houetda ? Il y en a quelques uns dans le voisinage. Pourquoi pas pourquoi pas. Et pourquoi pas celui de Saint Ildut http://marisse.hautetfort.com/archive/2011/08/15/le-pardon-breton.html?c

Voilà c'est fait.

 

A peine le p'tit déj pris, dans la charmante véranda

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fréquentée par un magnifique hibiscus et depuis peu une patate douce en mal de germes -Mamie s'étonne, vous êtes sûre, il ne faut pas la planter plutôt dans de la terre ? Et non Mamie je vous assure, il faut la choisir un peu pointue, la poser sur un vase ou un pot à l'embouchure étroite et attendre patiemment que des tiges naissent, vous verrez  une patate douce en végétation donne bien du plaisir (mais à manger aussi, n'hésitez pas à la préparer, enfin Mamie, Oh mais hi hi hi, mais pas du tout, surtout pas celle-ci)

 

Ddonc à peine le p'tit déj pris dansla charmante véranda on s'enquiert du repas de midi. Oui, tout exactement comme du temps d'Anastasia. Ma propre Maman. Tout est prévu Mamie. Tarte aux olives. "Ah bon vous faites une tarte aux olives" Lafille de Linstant insiste. Tu verras Mamie c'est délicieux. D'aileurs j'y vais. "Comment donc tu sais la faire ?" "Mieux que moi" dit Linstant. Pendant ce temps, elle-même attrapera Mes nouvelles recettes à la TV de Michel Oliver, en se souvenant des recettes de Raymond Oliver lui-même. Linstant a beaucoup appris avec Raymond. Pratiquement toute la base ou les bases. Et ce gâteau à la carotte qu'elle découvre lui rappellera tous les gâteaux à la carotte que Linstant a dégusté, une année 93 en Irlande. Laconclusion régulière de tous ses repas de vacances d'été. a de rares exceptions près.

 

Un gâteau à la carottes, oh putain con comme ils disent à Toulouse. Mais non, c'est pas un gros mot, c'est juste une particularité particulière, une petite gourmendise dentale. Et comme est-il ce gâteau ? Voyons voir. Mince c'est une recette suisse. Tant pis, note-la Linstant après on verra. Bref, vous le devinez, icimême je vous la note.

 

Pour 6 à 8 personnes

Prendre 6 oeufs et 2 saladiers

1- dans l'un, mettre les six blancs

2 - dans l'autre déposer les six  jaunes et ajoutez 25O g de sucre. Puis, au fouet (à main ou au batteur électrique c'est comme vous voulez) mais à main c'est mieux pour prononcer autant de fois qu'on peut ce qui suit)

 

six six frères sont assis sur six chaises sachez-le six cent six frères sont assis sur six cent six chaises.

 

ajoutez-y

 

- le zeste d'un citron

- le jus du citron

- 2 belles cuillères de Maïzena

- 1  paquet de levure chimique

- 1/2 cuillère à café de canelle en poudre et MELANGER 

 

Sur les 6 blancs

- déposer une pincée de sel

- les monter en neige

 

Enfin

Mélanger les deux saladiers

Prenez soin de ne pas casser les blancs, soulever la masse avec une spatule en caoutchouc et en faisant un mouvement rond

 

Utiliser un moule à manqué, le beurrer le fariner, verser la pâte

Préchauffer le four Th 5, déposer le plat au milieu. Démouler

Préparer un glaçage

Saladier : sucre glace, 1/2 citron, 1/2 cuillère de kirsch pourobtenir une consistance crème fraîche, étaler sur le gâteau refroidi. Le garer 3O' au frigo et le déguster. Wouhaou ! comme il est beau. Mince Linstant n'a pas l'appareil. A photos.

 

Séquence Souvenir

C'était quand déjà ? Ah oui Linstant habitait Lèves, près de Chartres, en Beauce (il y en a un en Ille et Vilaine mais on le dit de-Bretagne)

Linstant avait un jardin, un grand jardin.

Jusqu'aux tomates et céleri rave Linstant cultivait son jardin

Jusqu'àux myrtilles, cassis, pêches, framboises, reines Claude que Linstant cueillait cuisait capturait en boîte et même en liqueur des célibataires huuuuuuuuuum

et chaque samedi matin Linstant pour rien au monde n'aurait quitté l'écran.

Raymond Oliver offrait ses recettes avec générosité et bonhommie, avec des proportions un peu ubuesques concernant plus une famille nombreuse qu'un pauvre trio père mère et fils

Intelligemment Linstant qui n'avait jamais rien compris aux proportions remettait tout en ordre et ça marchait.

 

Aujourd'hui 15 août ce qui marche c'est le soleil : il est au zénith comme la tarte aux olives qui donne à l'ambiance un air provençal. Scoop les ami(e)s le soleil s'installe. Ste Claire avait seulement trois jours de retard. Ste Claire d'ordinaire enflamme l'été. Encourageons-la, cette année elle a un gros déficit à rattraper.

 

Au fait que je vous dise, votre truc pour s'endormir, ça marche, je ne me suis pas réveillée. Sommeil ininterrompu pendant 7h d'afflée, c'est parfait.

Linstant est très contente d'avoir osé ce petit conseil qui tient de l'exploit sportif en ce qu'il motive les muscles d'une façon passive. "Elle est forte votre orthophoniste !" C'est vrai, elle est bien mon orthophoniste. Mais ce qui est encore mieux Mamie c'est que vous avez vous-même osé m'écouter et pratiquer ma proposition. Félicitation à vous. C'est vrai qu'aujourd'hui vous avez une mine superbe Mamie.

 

Et si nous allions peaufiner notre bonne mine en nous allongeant sur le gazon. ? Voilà c'est fait.

Silence, dégustons.

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